Grosse confusion!

Mais à quoi pensait-elle?

Mélange de styles (application 12)

Comme d'habitude, je partage avec vous mes écrits diffusés sur Mélange de styles (que je vous invite chaudement à visiter, peut-être déciderez-vous de nous rejoindre)...
Le thème était : Un dialogue, le sang!
Voici ma coutre production :

- Salut Joe,
- Salut Vito,
- Comment vas-tu? Tu me sembles pâle ce matin. Ca roule ma poule?
- J'vais bien, Joe, j'suis juste en manque de fer, j'viens de donner mon sang, faut bien faire sa B.A.
- Arrête tu m'fais marcher, tu rigoles ou quoi? Hier, tu as mis trois bastos dans le crâne de ce pauv' type, il y avait du sang partout... T'appelle ça faire une B.A.?
- Non, j'appelle ça me faire plaisir!

Le temps qui passe

Le temps qui passe m'effraie.
Le temps qui passe me rapproche inexorablement de la fin...
L'image qui me vient à l'esprit quand je pense au temps est celle d'un symbole : le sablier et non une montre, bizarre n'est-ce pas? Pourquoi cette image? Pourquoi fais-je une fixation sur ce symbole? Peut-être que le sablier est plus représentatif de la fin que du temps qui passe...
Sur une montre, le temps ne s'arrête jamais (sauf quand la pile rend l'âme ou que l'on oublie de la remonter). Le sablier, lui, représente la fin, la mort du temps, ma mort et j'avoue, celle-ci me fait peur!
Je rêve d'immortalité, de vie éternelle.
J'espère qu'avant la date de ma fin (ma date de péremption), un remède contre la mort sera trouvé et rendra mon rêve réalité...
Hé oui, comme je l'ai écrit dans ma présentation, en guise de conclusion, je suis un utopiste!

Petite réflexion sur la mort

Je ne sais plus qui a dit : "la mort est une chance, ne la vivent que ceux qui ont vécu" et que "nous sommes tous égaux face à celle-ci"... Je ne suis pas trop d'accord avec ces affirmations. En effet, on ne vit pas tous la vie de la même façon, elle peut être longue mais remplie de souffrances, courte et bourrée de bonheur... Et en ce qui concerne l'égalité devant la faucheuse, je me marre! Les riches meurent, les pauvres crèvent! Vous trouvez ça équitable? Pas moi!

Mélange de styles (application 11)

Un nouveau défi nous a été donné par le webmaster de Mélange de styles : écrire une histoire avec dix mots imposés ceux-ci pouvaient varier en genre et en nombre.

Les voici :

Abricot-maïs-tige-essai-fable-spectateur-balance-vidéo-copie-hache

et voilà ce que ça donne :

Dix mots imposés pour raconter une histoire...
A l’époque, quand je fumais encore, il m’arrivait de demander au premier pélot que je croisais de me filer une tige, vous savez, cette saloperie du Diable que l’on appelle en Français cigarette. J’aimais de temps en temps aussi fumer des clopes faites de papier maïs, ça vous arrache la gorge et vous hache les poumons !
Vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point j’aimais ça et trouvais du plaisir à inhaler la fumée de ces tubes à cancer. Mais après des années d’esclavage nicotinique, j’ai commencé à avoir des problèmes respiratoires (perte du souffle, toux matinale,...) ce qui m’a décidé à ne plus être un simple spectateur de ma vie mais bel et bien l’acteur principal de celle-ci ! Et pour ce faire, j’ai décidé d’aller à la rencontre d’un médecin pneumologue qui m’a fait faire un scanner. Les résultats affichés sur l’écran vidéo de mon prescripteur révélaient des nodules aux poumons, il a donc fallut surveiller leur évolution... Après six mois, j’ai dû repasser un scanner et mon docteur a pu comparer les copies des clichés. Les nodules n’avaient pas évolué, c’était des cicatrices de mon enfance, des traces de mon passé lorsque je faisais des bronchites chroniques... et malgré cela, j’ai fumé... Allez comprendre ! Mais pas le début de tumeurs, quel soulagement !
J’ai dû aussi faire des tests de capacité respiratoire grâce auxquels on a découvert un début d’emphysème. Enfin, je dis début mais le médecin m’a clairement dit que si je ne réagissais pas rapidement, il ne faudrait pas dix ans pour être sous assistance respiratoire. Il m’a donc conseillé d’aller au centre d’aide aux fumeurs de Charleroi pour rencontrer le professeur José Hubert, responsable de ce centre. Nous avons en cinq séances établis des stratégies et travaillé sur mon arrêt du tabac, ça ressemblait à une fable. J’avais du mal à croire que ces séances m’apporteraient vraiment de l’aide et pourtant... A la fin de celles-ci, nous avons décidé d’une date pour l’arrêt définitif de cette drogue qui me bouchait les bronches, me colorait les doigts et me donnait une haleine de cendrier...
Ca y est, nous y sommes à cette fameuse date, le 06 janvier 2004... C’est cette date qui a été choisie pour l’arrêt ! A ce jour, au moment où je rédige ces quelques lignes, je n’ai toujours pas repris cette sale manie, je suis toujours un ex-fumeur ou si on préfère un fumeur abstinent, ce n’est pourtant pas l’envie qui manque quelquefois ! On dit souvent que la première tentative est un essai rarement concluant, je n’ai pas trop à me plaindre, je suis simplement le conseil principal, la règle d’or donnée par mon thérapeute : « ne pas reprendre la première cigarette qui serait le moteur pour enchaîner les suivantes ! » et ça marche !
Evidemment, j’ai compensé le manque de nicotine par divers substituts, les fruits étaient au programme (pomme, banane, abricot, poire,...) et aussi sucreries et douceurs en tout genre... J’ai aussi doublé les quantités de mes repas ce qui a eu pour conséquence directe une augmentation de mon poids, c’est ma balance qui n’était pas contente!
Je suis très fier de m’être débarrassé de ce produit qui rapporte tant à l’état et si peu à l’homme qui le consomme !
Alors, si tu lis cette histoire et que tu es fumeur, j’espère que mon témoignage t’aidera à prendre une décision qui changera ta vie de manière très positive.
Vas-tu relever le défi ? On prend les paris ?

Citation

"Il est plus facile de désintégrer un atome que de détruire un préjugé"
(Albert Einstein)

Mélange de styles (application 10)

Dans le cadre de Mélange de styles, nous devions écrire un texte sous la forme d'un journal de bord, voici ma rédaction ;-)

Journal de bord
Vonembre, le 51ème accord de 8691 de l'ère du Métal Mélodique.
Je viens de me lever et les six soleils sont déjà à leur zénith.
Nous avons fêté cette nuit mon 666ème octave! J'ai les cheveux encore tout mélangé à cause des headbangers de cette nuit! Oui, je sais, c'est beaucoup mais c'est ainsi que l'on fête les octaves ici, on se secoue la tête!
Je viens de mettre les doigts dans une source d'énergie sonore pour me recoiffer... Ça chatouille!
Ca y est, les tifs sont en place, je peux maintenant m'attaquer à mes gammes... Je prends ma BsonGi à boutons et commence à lire les partoches verticales colorées qui défilent à toute vitesse.
Faut avoir les doigts en forme pour le concert de ce soir au PoursiDôme...
Les potes dorment encore, ils vont ramer sur scène s'ils ne s'entrainent pas!
J'm'en vais vite vous les présenter :
OlOl, le bassiste du band à son médiator qui est en rade et préfère se mater les nylons des ZessesGon...
BuSheewan, le drumer, lui écrit des nouvelles de la mort qu'assassine!
GraErmande, notre chanteuse est quant à elle la plus belle voix du monde, rien à dire à son sujet sauf que j'suis morgane d'elle mais je n'veux pas le lui dire! Si t'oses lui répéter (ouais toi qui lit), j't'éclate!
Bon c'est pas tout ça, faut que j'raccroche la communication écrite sinon, j'aurai plus rien à raconter pour le 52ème accord!
.:FatPlash:.
The Bigger ButtonGuitariste Player One of The World!